1. Parlez-nous de vous.
Je suis originaire de la République du Congo-Brazzaville, un pays d’environ 4,5 millions d’habitants, situé en Afrique centrale. Je suis prêtre du diocèse de Pointe-Noire, ma ville natale qui est située au bord de l’océan atlantique.
2. Comment êtes-vous arrivé à la FTL?
Je suis arrivé au Tessin le 14 juillet 2017 à la faveur d’une bourse d’études subventionnée intégralement par les paroisses de Carona et Carabbia. En septembre de la même année, je me suis inscrit au cycle de licence canonique en théologie, option Dogmatique. Après l’obtention de ma licence le 1er octobre 2019, j’ai été admis au cycle doctoral. Ma recherche doctorale en cours porte sur la théologie des religions chez Joseph Ratzinger.
3. Quelle ambiance avez-vous trouvée à la FTL?
A la Faculté de Théologie de Lugano, j’ai trouvé une ambiance de famille, au sens africain du terme. La diversité de nationalités présentes favorise un enrichissement mutuel aussi bien sur le plan intellectuel qu’humain. Tout est mis en oeuvre pour que les nouveaux étudiants soient accompagnés aussi bien dans leur intégration personnelle que dans les démarches administratives qui, en Suisse, relèvent d’un véritable parcours de combattant. Ainsi, ai-je eu la chance de bénéficier des cours d’italien à un rythme soutenu et avec une pédagogie adaptée à mon back-ground culturel et linguistique.
Au chapitre des cours dispensés et des séminaires organisés, une attention particulière est accordée aux nouveaux étudiants par le corps professoral. Cela est très encourageant dans la mesure où on permet ainsi aux étudiants de réaliser un parcours sérein. Aussi, l’orientation théologique de la FTL est caractérisée par une approche plurielle qui reste tout autant ecclésiale que symphonique.
4. Comment voyez-vous votre avenir?
Je n’ai pas de lunettes magiques pour voir mon futur. Mais ce que je retiens c’est surtout la grâce que le Seigneur m’accorde, en me donnant la possibilité de faire une enrichissante expérience académique dans un pays comme la Suisse qui a fait de sa diversité une richesse. Je viens d’un pays et d’un continent déchiré par la violence sous toutes ses formes. Une violence qui découle surtout des difficultés du vivre-ensemble entre tribus, clans et familles. Et l’exemple de la Suisse peut constituer un paradigme pour nos jeunes pays africains en quête de paix et de développement.
Je suis originaire de la République du Congo-Brazzaville, un pays d’environ 4,5 millions d’habitants, situé en Afrique centrale. Je suis prêtre du diocèse de Pointe-Noire, ma ville natale qui est située au bord de l’océan atlantique.
2. Comment êtes-vous arrivé à la FTL?
Je suis arrivé au Tessin le 14 juillet 2017 à la faveur d’une bourse d’études subventionnée intégralement par les paroisses de Carona et Carabbia. En septembre de la même année, je me suis inscrit au cycle de licence canonique en théologie, option Dogmatique. Après l’obtention de ma licence le 1er octobre 2019, j’ai été admis au cycle doctoral. Ma recherche doctorale en cours porte sur la théologie des religions chez Joseph Ratzinger.
3. Quelle ambiance avez-vous trouvée à la FTL?
A la Faculté de Théologie de Lugano, j’ai trouvé une ambiance de famille, au sens africain du terme. La diversité de nationalités présentes favorise un enrichissement mutuel aussi bien sur le plan intellectuel qu’humain. Tout est mis en oeuvre pour que les nouveaux étudiants soient accompagnés aussi bien dans leur intégration personnelle que dans les démarches administratives qui, en Suisse, relèvent d’un véritable parcours de combattant. Ainsi, ai-je eu la chance de bénéficier des cours d’italien à un rythme soutenu et avec une pédagogie adaptée à mon back-ground culturel et linguistique.
Au chapitre des cours dispensés et des séminaires organisés, une attention particulière est accordée aux nouveaux étudiants par le corps professoral. Cela est très encourageant dans la mesure où on permet ainsi aux étudiants de réaliser un parcours sérein. Aussi, l’orientation théologique de la FTL est caractérisée par une approche plurielle qui reste tout autant ecclésiale que symphonique.
4. Comment voyez-vous votre avenir?
Je n’ai pas de lunettes magiques pour voir mon futur. Mais ce que je retiens c’est surtout la grâce que le Seigneur m’accorde, en me donnant la possibilité de faire une enrichissante expérience académique dans un pays comme la Suisse qui a fait de sa diversité une richesse. Je viens d’un pays et d’un continent déchiré par la violence sous toutes ses formes. Une violence qui découle surtout des difficultés du vivre-ensemble entre tribus, clans et familles. Et l’exemple de la Suisse peut constituer un paradigme pour nos jeunes pays africains en quête de paix et de développement.